Emmanuel Macron a déclaré qu’il souhaitait gouverner de la même manière que le Romain notre dieu Jupiter, en se tenant au-dessus des conflits quotidiens avec les autorités. Moins de 90 jours après l’arrivée au pouvoir du président français, les numéros de téléphone de son sondage confirment à quel point il est mortel. Un sondeur centré sur le Royaume-Uni, YouGov, a noté une baisse de 7 points du statut d’acceptation du jeune dirigeant, qui est passé de 43 à 36% au cours du mois de juillet. Le sondeur français Ifop a connu une baisse comparable au cours de la même période, rappelant que: « En dehors de Jacques Chirac en juillet 1995, un nouveau directeur exécutif n’a en aucun cas vu sa réputation baisser aussi facilement en été, une fois les élections politiques terminées » La baisse de reconnaissance est vraiment un transfert brutal à partir de juin, lorsque Macron et son excellent ministre, Édouard Philippe, ont vu leurs scores d’approbation passer de 62% à 64% et de 55% à 64% en conséquence. Cependant, leur mesure de popularité n’est pas totalement au-dessus de la norme. L’ancien président François Hollande avait apprécié une autorisation de 56% au cours de la même phase de sa présidence; son précurseur, Nicolas Sarkozy, a été augmenté, se classant à 66%. Ce qui est peut-être le plus inhabituel est simplement le temps écoulé depuis que Macron a été accepté. Sa présidence a profité de nombreuses améliorations au début, notamment de réunions importantes avec des dirigeants étrangers, tels que le directeur général Trump (tous deux impliqués dans une poignée de main désormais bien connue, que Macron a ensuite acceptée, avait pour but de révéler qu’il ne ferait aucune concession). et le Russe Vladimir Poutine (au cours duquel Macron a publiquement accusé le multimédia européen d’être «des agents d’influence et de propagande»). Le récit diplomatique de Macron (la France figurait au premier rang des forces les plus douces au monde dans une enquête annuelle dépassant les deux États-Unis et la Grande-Bretagne) a été de nature à réduire les problèmes à la maison. Le politologue de l’Ifop Jérôme Fourquet a expliqué que le public français français avait suscité l’engouement pour la nomination de Poutine aux propos de Trump et de Poutine. Aucun des deux innovateurs n’est préféré. Mais il a également attribué la baisse de popularité de Macron à son intention de réviser le code du travail du pays. En plus de son budget proposé de 850 millions d’euros, le transfert du budget de protection de cette année a provoqué la démission de Common Pierre de Villiers, le chef de l’armée française. «Il a fait campagne pour l’idée d’essayer de réduire la taille de l’État français, pour finalement lui permettre d’être plus compétitif», a déclaré le docteur. David Lees, spécialiste de l’université ou de l’université de Warwick, spécialisé dans la politique nationale française, m’a expliqué. « Ces choses seront certainement confirmées comme impopulaires, car elles impliqueraient un bouleversement majeur de la manière dont la France fait des affaires. » Ce bouleversement comprend, entre autres, la réduction du nombre de législateurs français par un tiers, la réduction des investissements publics ouverts et l’utilisation de plusieurs industries -des réformes économiques agréables (y compris la nouvelle réglementation qui offre aux employeurs une plus grande mobilité pour embaucher et inciter des personnes)
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Un revenu universel du candidat socialiste
Mr Hamon suggère d’allouer un « revenu universel d’existence » de six cent cinquante euros par mois sans préalable, notamment de revenu, progressivement à toute la nation. Sa charge annuel au final serait de 600 Md€, ce qui représente la 1/2 des charges d’Etat. Le revenu universel fût évoqué par des spécialistes que plusieurs désigneraient d’anglo-saxons, régulièrement en l’associant à un nouvel impôt proportionnel au patrimoine global pour le payer. Une charge générale au taux de 35 % pourrait ainsi régler une dépense de 600 milliards d’euros. Ce principe, revenu universel et un nouvel impôt corrélatif, couvrirait, selon ses concepteurs, un plan de vie plancher à chaque Français aussi en l’appelant à travailler davantage que dans le principe en vigueur. En effet, tout argent additionnel encaissé par son travail lui rapporterait 0.66 Euros après impôt alors que, à présent, il acquiert en net simplement 0.47 euros de manière générale, parce qu’il aperçoit réduire ses redevances sociales et empirer ses niveaux d’impositions et cotisations sociales. Pour ces énarques, ce revenu intervertirait la plupart des provisions sociales et des services publiques dont l’utilisation est individualisé. Toute personne acquerrait le minimum nécessaire pour subsister, l’améliorerait par une activité professionnelle, le dépenserait pour des biens de son choix et préserverait librement contre tous les risques, particulièrement les actuels risques de maladie. La globalité des fournitures sociales atteignant quasiment 600 Md€, le revenu d’existence n’aggraverait de ce fait pas les prescriptions sociales et pourrait être financé sans alourdir les prélèvements obligatoires. Il faudrait seulement modifier quelques-uns de ceux-là, particulièrement les contributions, par une contribution généralisée à 37 %. L’État arrêterait d’ agir afin de procurer des services aux français. Les répercussions de l’établissement d’un salaire d’existence sur l’efficience des acteurs économiques, l’attractivité du lieu, le financement et l’emploi, ou davantage la fraude aux impôts et sociale, deviendraient considérables. Ce n’est inévitablement pas la folie de Benoît Hamon, qui n’a pas signalé la cessation de services étatiques. Il est possible de simplement supposer que le revenu universel modifierait les seuils sociaux (autour de 26 Milliards Euros) et les allocations familiales (11 Mds euros), tout enfant y cédant droit, toutefois ces réductions de dépenses ne supplanteraient pas l’origine de la difficulté : il faudrait majorer les prélèvements obligatoires d’environ 540 Milliards euros, soit de 50 %. Les répercussions de l’établissement d’un salaire d’existence sur la rentabilité des entreprises, l’attractivité du pays, l’investissement et l’responsabilité, ou davantage la fraude aux impôts et sociale, deviendraient considérables.