Dépendance oenologique ou alcoolique

Les personnes dépendantes de la boisson alcoolisée compulsivement et souvent prétendent avoir une personnalité addictive. C’est un mythe commode. J’ai entendu parler d’un dentiste qui a approché son travail dentaire avec une attention particulière aux détails. Ses couronnes devaient s’adapter parfaitement. Il était fanatique au sujet de l’ajustement de la morsure et sa propreté de l’espace de travail était impeccable – tout ce que j’aime voir chez un dentiste, car je n’aime pas la douleur. . . ou rappelle. Malheureusement, lorsque sa propreté compulsive s’étendait à son bureau et à la salle d’attente, il ne pouvait pas garder son personnel. Ses mariages n’ont pas duré, car il a imposé son ordre compulsif à sa famille. Le fait compulsif est de gérer la peur sous-jacente. En d’autres termes, une contrainte est une impulsion fondée sur la peur. C’est un mécanisme de défense de l’ego comme la rationalisation et le déni. Nous avons tous un certain degré de tendances compulsives. À une extrémité du continuum, il y a des contraintes qui sont inoffensives, voire positives, à la surface. Par exemple, la ponctualité est généralement une bonne habitude. Cependant, si une minute de retard pour un rendez-vous vous inquiète, être à l’heure est probablement une contrainte pour vous. À l’autre extrémité du continuum se trouve la personne atteinte d’un trouble psychiatrique, du trouble obsessionnel-compulsif (TOC). Rappelez le film Jack Nicholson, « As Good As It Gets ». Un très petit pourcentage de personnes se qualifient pour ce diagnostic. Le dentiste que j’ai mentionné ci-dessus montre comment les tendances compulsives peuvent être bénéfiques et nuisibles. Cependant, il n’arrivait même pas à satisfaire aux critères du TOC. Les comportements compulsifs peuvent prendre diverses formes: consommation compulsive, observation de la télévision, consommation de café, consommation de chocolat, travail, exercice, jardinage ou sexe. Certaines de ces compulsions sont réformées en tant que dépendances, ce qui rend la personne un alcoolique (toxicomane), un toxicomane au chocolat (chocoholic), un toxicomane (adulte) ou un toxicomane (sexaholic). L’alcoolisme est une recherche compulsive et une consommation d’alcool. Si l’alcoolique fonctionnel cesse de boire, la contraction se transforme souvent en autre chose. Les histoires de la quantité de café consommée aux réunions des AA sont une légende. Cela et d’autres observations concernant les buveurs compulsifs ont conduit à l’expression «Personnalité addictive». Les alcooliques fonctionnels ajoutent maintenant la «personnalité addictive» à leur litanie d’excuses pour continuer à abuser de l’alcool. En fait, à moins que votre compulsion ne soit consommée, personne ne pense que vous ayez une personnalité addictive. Étant donné que l’utilisation du terme «personnalité addictive» dépend de l’objet de la contrainte, et non du processus, cela n’explique rien. Cependant, comme vous pouvez déplacer la contrainte d’un objet à l’autre, comme de l’alcool au café, et peut l’exploiter à des fins bénéfiques telles que la dentisterie, pourquoi ne pas rediriger le pouvoir de la contrainte à boire? La contrainte de boisson pourrait être exploitée, par exemple, pour poursuivre compulsivement un nouveau passe-temps ou une nouvelle entreprise. Si vous pouviez exploiter le caractère compulsif de l’alcoolisme pour le travail bénévole, par exemple, pensez à ce que le bien pourrait venir à mesure que vous avez éliminé la dépendance. Une redistribution dangereuse pourrait-elle être redirigée vers une amélioration personnelle? Je l’ai vu arriver. Le passage d’une mauvaise contrainte à une meilleure, bien sûr, n’est pas une fin en soi. Cependant, cela pourrait constituer une étape importante pour laisser une mauvaise contrainte dans le passé, faire quelque chose de positif et finalement atteindre une vie plus équilibrée. Retrouvez plus d’informations sur l’organisateur de cette activité de cours d’oenologie.

La relance de l’éducation prioritaire : un élan davantage volontariste est nécessaire dans la mise en oeuvre

Après des consultations locales, un nouveau plan de relance de l’éducation prioritaire a été adopté en 2014. La carte de l’éducation prioritaire est désormais distribuée entre les Réseaux d’éducation prioritaire (REP et REP+, accueillant les élèves les plus défavorisés). Un ensemble de mesures sont aussi déclinées pour permettre une amélioration des pratiques pédagogiques et une plus grande stabilité des équipes : construction d’un référentiel pédagogique de pratiques efficaces des enseignants, fondé sur les conclusions de la recherche ; temps de concertation sur le temps de service, primes aux personnels renforcées, formation des enseignants, fonds d’innovation pédagogique, renforcement des équipes médicales et d’assistantes sociales, … Une enquête de terrain a été menée par le Cnesco en 2015-2016 dans 20 académies et 28 départements, selon une logique multi-niveaux (des recherches documentaires et quelque 150 entretiens conduits en académie et départements, sur l’activité des équipes académiques et celle des équipes pédagogiques dans les réseaux et les établissements). Cette première analyse montre que la mise en oeuvre de cette réforme, volontariste en 2014-2015 semble s’être ralentie l’année suivante, certainement du fait de la préparation concurrente de la réforme collège. Lors de la première année de mise en oeuvre, la réactualisation de la carte d’éducation prioritaire, effective dans toutes les académies, a bien permis de faire évoluer de façon significative la composition sociale des établissements. Les cartes de l’éducation prioritaire et de la politique de la Ville se sont ainsi rapprochées. Cette même année, le pilotage dans les académies a été mis en place également. La mise en oeuvre de la réforme s’est ralentie à partir de l’année scolaire 2015-2016. Certes certains d’établissement REP+ apparaissent bien être entrés dans la réforme mais ceux du réseau REP semblent être le plus souvent restés en marge de la réforme. Par ailleurs, toutes les dimensions de la réforme n’ont pas été mises en oeuvre dans la totalité des académies. Les formations autour du référentiel ont été parcellaires, les personnels médicaux et sociaux n’ont pas été systématiquement recrutés, les fonds d’innovation pédagogique n’ont pas toujours été lancés. Dans les établissements les heures de concertation n’ont pas été systématiquement mises en oeuvre dans toutes les académies. Cette première analyse sera reconduite à l’hiver 2016-2017 de façon à analyser la mise en oeuvre de la réforme dans la durée. Ces évaluations seront publiées dans le rapport sur les Inégalités territoriales du Cnesco fin 2017.