Et la qualité du contenu, dans tout ça ?

Vendredi dernier, j’ai assisté à un séminaire à Rome lors duquel j’ai pu évaluer pas mal de contenus produits par les marques. Pour plus de détails sur voyage à Rome visitez notre site Web. Et en les observant, j’ai été stupéfait de noter combien certaines marques n’ont pas saisi les enjeux en la matière : nombre de ces contenus ne présentait effectivement sans intérêt, et ces contenus étaient manifestement voués à être des oubliés par les spectateurs. Dans une communication de contenu, la qualité est la condition primordiale de la réussite. Parce que dans cette nouvelleéconomie de l’attention, il n’y a que les contenus de qualité qui auront accès à la visibilité. Sur le secteur des contenus, le but ne se résume pas à concevoir un contenu de meilleure qualité que la marque voisine : les contenus de marque doivent en réalité rivaliser avec la totalité des contenus accessibles, y compris ceux qui sont proposés par les médias classiques. Les spectateurs a le choix entre apprécier la web-série d’une marque ou le dernier Disney, peuvent visionner dvd collector de Céline Dion ou le documentaire d’un concert planifié par Buitoni. Ainsi, les marques se doivent de exposer des contenus de très haute qualité, et même là, elles ne rencontrent pas nécessairement à leurs fins. Les contenus sont déjà en nombre, pour quel motif les individus devrait-il s’imposer des contenus de marques ? Les contenus perçus comme sans intérêt sont assurés de se noyer dans le nuage des contenus proposés chaque jour et qui n’attirent pas l’attention, comme tous ces livres qui sont proposés à la rentrée et que personne ne lit. Le pire, durant ce colloque à Rome, a été de découvrir que les marques qui n’avaient pas réussi pas à imposer leurs contenus dépréciaient l’importance du contenu pour les marques. Il est vrai que c’est plus facile que de se remettre en cause !